— Blais exhorte tous les députés à voter en faveur du projet de loi 10 afin d’obliger les dirigeants municipaux à rendre des comptes —
« Tout le monde est sûrement d’accord pour dire qu’il y a des actions si flagrantes, comme la violence et le harcèlement au travail, qui justifieraient de perdre son emploi », dit M. Blais. « Il s’agit d’une question non partisane, qui, je l’espère, sera adoptée afin que nous puissions contribuer à empêcher que cela ne se produise, en particulier pour les femmes qui veulent simplement faire leur travail sans harcèlement ni violence. »
Le projet de loi, s’il est adopté, permettra aux municipalités d’ordonner au commissaire à l’intégrité de demander au tribunal de libérer le siège d’un membre qui ne respecte pas les politiques de la municipalité en matière de violence ou de harcèlement au travail.